Fermes de Nouvelle-Aquitaine

L'Autre ferme d'Anne-Lorraine

Département

16

Partenaire depuis

2020

Animaux

28

espèce

L'histoire de la ferme

L’Autre Ferme est un refuge fondé sur le modèle du « Farm sanctuary » aux États-Unis, avec également des activités de sensibilisation du public. Ce refuge éthique se trouve en Charente, entre Angoulême et Confolens. Il y accueille des moutons secourus et en pension pour l’OABA, et également des poules, lapins et bovins. Les moutons sont parfaitement à l’aise dans la bergerie laissée ouverte en permanence sur leur grande prairie ! Ils se montrent sociables et adorent monter sur les souches qu’Anne-Lorraine a posées dans le champs. 

Bonne nouvelle : vous pouvez rendre visite aux animaux secourus en réservant une des chambres d’hôte ! Les recettes permettront d’aider aux soins des animaux, et de construire/entretenir les parcs. Le directeur de l’OABA a testé une des chambres et a apprécié le confort du
matelas et la tranquillité des lieux… Autre bonne nouvelle :
les adhérents de l’OABA bénéficient de 10% de remise !
Si vous êtes adhérent (ou parrain d’un animal de
l’Autre Ferme) et souhaitez réserver, vérifiez le
calendrier et contactez directement
Anne-Lorraine sur contact@lautreferme.org

animaux de l'autre ferme d'Anne-Lorraine

La ferme de Louis

Département

19

Partenaire depuis

2018

Animaux

39

espèces

L'histoire de la ferme

Louis aide l’OABA depuis plusieurs années, suite à un retrait effectué en Indre-et-Loire. Très motivé, c’est un grand amoureux des animaux qui a transmis sa passion à son fils ! Initialement éleveur, il prend soin d’animaux secourus : tout d’abord des bovins, et à présent également des chèvres.

Après une des saisies auxquelles Louis a participé, la DDPP a déclaré : « Je tiens à vous remercier tout d’abord pour la contribution de l’OABA dans [ce] dossier avec mention particulière à Louis […] qui, comme toujours, a fait un travail remarquable malgré la tension et les difficultés dans laquelle s’est déroulée l’opération.

Sans de tels partenaires d’utilité publique comme lui ou comme [Max] que j’avais vu à l’œuvre chez nous il y a quelques années, je pense que nos travaux respectifs et complémentaires pour lutter contre la maltraitance animale et la misère humaine dans les élevages seraient vains et sans issue. Ces professionnels sont précieux et méritent d’être reconnus. »

Cette ferme peut accepter de faire des JPO.

animaux de la ferme de Louis

La ferme de Thierry

Département

64

Partenaire depuis

2010

Animaux

32

espèces

L'histoire de la ferme

Thierry gère une ferme d’environ 100 ha située dans les collines du Pays basque. Il dispose de prairies naturelles, de marais et de zones « nature 2000 » de haute valeur environnementale, où il accueille de nombreux animaux issus de saisies par l’OABA : bovins, équidés, mais aussi ovins. Il travaille en Bio depuis 2010 et a le souci de « l’autonomie maximale », sans chercher l’ultime rendement économique mais plutôt en laissant faire la nature à son rythme, au gré des saisons. Thierry avait 30 ans quand il a vu un article indiquant que l’OABA cherchait un hébergement pour des bovins. Il est alors entré en contact avec Frédéric Freund (directeur de l’OABA) qui est venu lui rendre visite, puis il est devenu notre partenaire. Avant cela, il était dans une petite exploitation, avec peu de ressources et en plein divorce. Il nous dit : « Devenir Troupeau du Bonheur m’a beaucoup apporté car cela m’a permis de faire autre chose que de l’agricole. Je pense que cela permet à certains éleveurs d’avoir un équilibre. C’est une source de revenu stable. C’est pour moi très important, c’est très gratifiant pour les éleveurs car on sort ainsi de la production.

 L’OABA m’a soutenu avec l’acquisition d’un bâtiment. Cela parait anodin, mais aujourd’hui mon fils, du fait de la tournure des événements, veut s’installer pour remettre des brebis en plein air. Je trouve très bien la démarche que vous avez et j’en suis très content. Près de chez moi, je suis en train de mettre en place un projet en phase avec la prise en compte de notre environnement ; il faut montrer quelque chose de positif et je souhaite monter une station de recharge pour véhicule électrique alimentée par des panneaux solaires. Si j’arrive à tenir, c’est grâce à l’OABA. Je suis très reconnaissant envers cette association qui met en avant de très bonnes choses. » Cet hébergeur peut accepter d’organiser des Journées Portes Ouvertes.

animaux de la ferme de Thierry