Fermes de Bourgogne-Franche-Comté

La ferme de Christel

Département

39

Partenaire depuis

2016

Animaux

4

espèce

L'histoire de la ferme

Christel possède un domaine de 10 hectares, avec des abris et une écurie de 20 grands boxes tout confort. C’est une ancienne cavalière d’endurance, dédiant tout son temps aux chevaux rescapés actuellement. En 2016, elle a fait la connaissance du directeur de l’OABA, Frédéric Freund, et a initialement accueilli Fanny et Comtesse, mère et fille.

Christel, très engagée et passionnée, a reçu à plusieurs reprises des journalistes sur son sanctuaire, où les chevaux sont libres de leurs allées et venues entre extérieur et intérieur.

Cette écurie peut accepter de faire des JPO.

animaux de la ferme de Christel

La ferme de David

Département

58

Partenaire depuis

2010

Animaux

22

espèce

L'histoire de la ferme

Propriétaire de 120 hectares, David est devenu partenaire de l’OABA par le biais du journal « Le Centre ». Il a eu vent d’un sauvetage d’animaux maltraités à faire, et s’est montré intéressé pour remettre les pauvres animaux d’aplomb. Ainsi, notre relation avec David s’est établie il y a plus de 10 ans. David trouve que cette activité de sauvetage est extrêmement gratifiante, et lui a permis également de faire beaucoup de belles rencontres.

Il témoigne : « Parfois, les éleveurs, totalement dépassés, nous remercient de leur ôter une épine du pied. »

Aujourd’hui, il travaille presque exclusivement pour l’OABA, à travers le Troupeau du Bonheur et les nombreuses saisies d’animaux auxquelles il participe avec vigueur et passion.

animaux de la ferme de David

Les ptits gars de la Nièvre

Département

58

Partenaire depuis

2014

Animaux

4

espèce

L'histoire de la ferme

Laurence a toujours adhéré aux actions de notre association. C’est le refuge de Thiernay qui lui a fait connaître l’OABA lorsqu’elle y a adopté son chien Cassuis. En effet, elle avait une chèvre de 18 ans qui s’ennuyait seule après le décès de ses vieilles copines. Laurence a alors contacté l’OABA et est devenue adhérente, puis ferme partenaire ! Elle s’occupe dorénavant des Ptits gars de la Nièvre, comme elle aime les appeler : des boucs trouvés en divagation, qui avaient été ramassés par la fourrière.

Laurence dit toujours : « le bonheur de les voir jouer, courir, se chamailler, bronzer à côté de moi sur la terrasse : ça vaut bien la vue de la mer ou de la montagne, ou même une séance chez le psy ! »

animaux des ptits gars de la Nièvre

La ferme de Méline

Département

89

Partenaire depuis

2021

Animaux

1

espèce

L'histoire de la ferme

Méline nous dit : « Au départ, notre famille avait quelques chèvres laitières (Noisette, Châtaigne, Airelle). Nous fabriquions des fromages de chèvre pour notre consommation familiale. L’ensemble de nos produits a été certifié en Agriculture Biologique en 2008. Dans un cadre bucolique, nous avons maintenant des chèvres et des vaches. Nous tenons une boutique de produits bio en circuit court. » En 2018, une ferme pédagogique s’est développée (poneys, ânesses, brebis, lapins, canards, oies, cochons, poules…).

  En 2021, Méline accueille Peggy la cochonne, sauvée par l’OABA. Elle devient officiellement quelques mois plus tard Ferme du Bonheur !

Cette ferme peut accepter d’organiser des JPO.

animal de la ferme de Méline

La ferme de Patrick

Département

71

Partenaire depuis

2012

Animaux

36

espèces

L'histoire de la ferme

Patrick, initialement éleveur, est devenu notre partenaire via notre ami commun Max, qui lui a dit un jour : « Je dois faire une opération de saisie d’animaux maltraités. L’étable est effondrée sur les animaux, ils sont sur 1 mètre de boue et de fumier. Ils n’ont pas à manger. Qu’est-ce qu’on va faire d’eux ? ». Patrick lui a répondu : « Peut-être que j’ai de la place !.. Amène-les moi. » Et tout a commencé comme ça ! Les animaux sont arrivés chez Patrick et très rapidement, ils se sont rapprochés de lui. Ils avaient besoin qu’on s’occupe d’eux… Patrick pense que les éleveurs sont obligés de se mettre des œillères pour ne pas voir toutes les dérives qui existent au sein de la filière.

Il dénonce l’industrialisation des élevages et des pratiques d’abattage.

Sa ferme est constituée d’une centaine d’hectares autour d’un bâtiment. C’est une ferme tout en herbe et en terre biologique. Le bâtiment principal est entouré de parcs dans lesquels il y a des ruisseaux et des bosquets.

Cette ferme peut accepter d’organiser des JPO et y a déjà participé en 2024 (vidéo ici).

animaux de la ferme de Patrick

Une question sur le Troupeau du Bonheur ?