Foire aux questions

Un parrainage est un engagement qui nous assure une visibilité financière sur le long terme. Il concerne un ou plusieurs animaux en particulier, et est concrétisé par un don mensuel. Il vous permet de bénéficier de nouvelles régulières de l’animal parrainé. Un don ponctuel soutient l’ensemble du Troupeau du Bonheur, mais ponctuellement. Dès 30€/an, vous devenez membre de l’OABA et pouvez assister aux Journées Portes Ouvertes.

Oui ! Les cœurs (bronze 🤎, argent 🤍 ou or 💛) symbolisent à quel niveau de dons l’animal est actuellement parrainé. Un animal peut très bien avoir plusieurs parrains (c’est même d’ailleurs encouragé !)

Oui ! Si vous êtes un particulier : vous pouvez bénéficier d’une réduction d’impôt égale à 66 % du montant de votre don ou parrainage, dans la limite de 20 % de votre revenu imposable. 

Pour une entreprise,  l’ensemble des versements à l’OABA (Troupeau du Bonheur inclus) permet de bénéficier d’une réduction d’impôt sur les sociétés de 60 % du montant de ces versements, plafonnée à 20 000 € ou 5 ‰ (5 pour mille) du chiffre d’affaires annuel hors taxe de l’entreprise. En cas de dépassement de plafond, l’excédent est reportable sur les 5 exercices suivants.

Compte tenu du profil de certaines personnes à qui nous avons retiré des animaux maltraités, il n’est pas possible de publier ce type d’informations pour la sécurité des animaux et de nos partenaires qui les accueillent et les hébergent.

Pour assurer la sécurité des animaux (parfois tout juste rescapés de maltraitants et en cours de soins), les fermes ne sont pas ouvertes au public. Dans certaines fermes, les parrains et marraines trèfle d’or peuvent rendre visite ponctuellement aux animaux qu’ils parrainent, sur RDV et sous réserve d’acceptation de l’hébergeur ; ces fermes peuvent également être ouvertes aux parrains et aux adhérents de l’OABA lors de Journées Portes Ouvertes (voir si la mention est présente dans la description de chaque ferme).

Non. Ils ont été confiés définitivement à l’OABA et restent à vie dans le Troupeau du Bonheur. Ils sont parrainables.

Non. Les animaux du Troupeau du Bonheur y restent toute leur vie et ne finissent jamais à l’abattoir. En fin de vie, si une raison médicale l’exige, l’euthanasie sera pratiquée par un vétérinaire, sur place de préférence.

Le réseau de ces Fermes du Bonheur conventionnées s’est créé au fur et à mesure des rencontres et par le biais du « bouche à oreille ». Une potentielle Ferme du Bonheur doit donc être visitée par un membre de notre association. Au minimum, elle doit comprendre des pâtures adaptées et bien clôturées, des bâtiments pour l’hiver et doit être gérée par une personne formée et compétente. L’OABA établit une convention définissant les conditions strictes de cet hébergement, en particulier l’interdiction de production, de reproduction et de conduite à l’abattoir.
 
Cette Charte précise que l’hébergeur doit prodiguer les soins nécessaires et suivre la bonne santé des animaux quotidiennement. Dans l’éventualité où un animal présente des blessures, des signes de douleurs ou de maladie, l’hébergeur doit informer l’OABA et faire appel à un vétérinaire pour décider du protocole de soins avec prise en charge systématique de la douleur.
 
Les pensionnaires doivent être libres d’exprimer leurs comportements naturels. Lorsque les animaux sont en bâtiment, l’espace est toujours suffisant pour assurer une liberté de mouvement. Aucun animal ne se trouve en case ou en stabulation entravée. Dès que les conditions sont favorables, les animaux ont accès aux pâturages disposant d’abris naturels ou artificiels. En fin de vie, si une raison médicale l’exige, l’euthanasie sera pratiquée par un vétérinaire en évitant le transport, source de souffrance.
 
Vous pouvez adresser votre dossier de candidature à contact@oaba.fr en indiquant votre nom, votre numéro de téléphone, votre lieu d’habitation, les espèces et nombre d’animaux que vous pouvez prendre en charge ainsi que l’expérience et/ou formation que vous avez dans la gestion d’animaux de ferme.

Le Troupeau du Bonheur est exclusivement financé par la générosité de nos donateurs et parrains. Les hébergeurs sont défrayés à hauteur des frais de pension des animaux et des frais vétérinaires.

La pension comprend les frais d’hébergement et de nourriture (hors frais vétérinaires). Elle a subi l’inflation ces dernières années. Pour un cheval, elle est en moyenne de 5,2€ par jour (soit 1900€/an), 2,5€ pour une vache (900€/an), 1,8€ pour un cochon (660€/an), et 0,5€ pour un mouton ou une chèvre (175€/an).

Toute personne peut effectuer un signalement. Un sauvetage n’aboutit à une place dans le Troupeau du Bonheur que si l’OABA obtient la garde définitive de l’animal, si une place est disponible et si le financement des frais peut être assuré sur le long terme. Les animaux qui ne trouvent pas de place au Troupeau du Bonheur sont placés chez des éleveurs de confiance, aux frais de l’OABA le temps de la procédure judiciaire.

Les animaux proviennent en grande majorité de saisies judiciaires, suite à des faits de maltraitance. L’OABA en a obtenu la garde définitive. L’histoire des animaux est précisée sur chacune de leurs fiches

L’OABA ne fait appel qu’à des professionnels pour s’occuper des animaux, pour des raisons de sécurité et de responsabilité (animaux parfois tout juste secourus, apeurés voire dangereux). Les parrains et marraines trèfle d’or peuvent en revanche parfois devenir bénévoles, en participant par exemple à des groupes de réflexion sur le Troupeau du Bonheur.

Plutôt que d’avoir une ferme « à nous », nous avons choisi d’avoir une quarantaine de fermes partenaires où les animaux sont mis en pension, dans toute la France. Cela nous permet d’accueillir plus d’animaux, de profiter de la compétence des professionnels qui possèdent ces fermes et qui s’occupent au mieux de nos animaux, et d’éviter de longs temps de transport aux animaux secourus.

Les animaux de ferme hébergés sont nourris avec une alimentation végétale. Ils ne sont pas exploités, ne reproduisent pas et ne vont jamais à l’abattoir. Mais l’OABA est de conviction welfariste, et n’incite pas au veganisme mais à une consommation plus responsable.

En 1993, l’OABA se voit confier la garde définitive de bovins retirés à leur éleveur condamné pour maltraitance. Les 13 survivants (plusieurs étaient morts de faim et de soif) sont placés chez un éleveur en Savoie. « Nous avons débarqué ces bêtes dans un pré couvert d’une épaisse couche d’herbe grasse et de luzerne. Toutes ont plongé immédiatement leur museau dans cette nourriture presque inconnue pour elles. J’imaginais ce que ces pauvres bêtes avaient dû subir » témoigne Gil Raconis, délégué enquêteur de l’OABA qui adoptera le taureau « Titus » qui deviendra son fidèle compagnon pendant plusieurs années. Ainsi est né le Troupeau du Bonheur.

Sur notre chaîne Youtube, mais également sur Instagram et Facebook !

Des articles « Troupeau du Bonheur » peuvent être achetés sur la boutique solidaire de l’OABA.

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Œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs
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Télécopie : 01 43 79 64 15

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